mercredi 18 novembre 2015

Vague d’attentats athéistes à Raqqa, capitale de Daech : 250 djihadistes tués

Djibouti a repris du service et est parti enquêter sur une spectaculaire série d’attentats qui a secoué Raqqa, le fief syrien de l'état islamique. Un reportage exclusif au cœur de l'état islamique en ébullition.

Djibouti découvre une ville de Raqqa en état de choc après la série d’attaques qui a causé plus de 250 morts et des centaines de blesses selon un bilan provisoire. L’attentat a été revendiqué par un mystérieux groupuscule athéiste, "la confrérie du Picon" via un communiqué laconique, décliné en français, en alsacien et en arabe : “Daech, je t’emmerde”

Le soir du 17 novembre, les terroristes ont mené plusieurs attaques simultanées avec des modes d’actions inédits au Proche Orient. Tout a débuté à 19h lors de l’appel à la prière quand les hauts parleurs des 40 mosquées de la ville ont diffusé du "Eagles of Death Metal" au lieu de la voix du mufti, glaçant d’effroi les fidèles. 

Au même moment, dans la grande salle des loisirs halal de la ville, un lâcher de bustes de Marianne par drone a eu un effet dévastateur lors d’une session d’entraînement au port du gilet kamikaze. Plusieurs fondamentalistes effarés par la vue d’une Marianne à la poitrine fort dévoilée ont déclenché leur gilet provoquant une explosion en chaîne qui a causé plus de 200 victimes selon un décompte provisoire. 

En parallèle le déclenchement à distance de boites à pet dans plusieurs mosquées a provoqué des tirs fratricides entre deux groupes djihadistes faisant de nombreuses victimes et créant un mouvement de panique. Comble de l’horreur, des centaines de bouteilles de Picon avaient été brisées et répandues au sol par les terroristes causant ainsi des centaines de blessés parmi les fidèles déchaussés et épouvantés qui cherchaient à quitter les lieux.

Dans les rues de Raqqa, en proie à un chaos indescriptible, les chirurgiens-bouchers opèrent des pieds a la chaîne et dans tous les bazars de la ville les babouches molletonnées sont en rupture de stock. On signale des cas de mutilation volontaire de djihadistes qui ne peuvent supporter l’odeur douce-amère du Picon qui suinte de leurs blessures. 

Le médecin-chef Abdou Lassi, interviewé par Djibouti, a livré ce témoignage affligé : "la plupart des jeunes recrues occidentales étaient totalement affolées à la vue de leur sang versé et appelaient leur mères quand on leur posait des points de sutures. On a déjà pu le constater, ce sont de vrais guerriers sur PS4 mais quand ils font face à un bataillon de Peshmerga kurdes, c'est une autre histoire. A part exécuter des femmes et des enfants sans défense et publier leurs selfies sur Youtube, ils ne sont vraiment bon à rien ! Il vaudrait mieux les renvoyer dans leur pays où ils pourront agir avec plus d'efficacité. Même si comme on a pu le constater récemment, ils sont bien fichus de se faire exploser tout seul comme des cons sans faire de victimes ou de se tirer une balle dans la jambe à leur domicile." 

En solidarité avec les victimes, le calife auto-désigné Abou Bakr al-Baghdadi et tous ses dignitaires rassemblés arboraient un pins Pikatchu. La représentation du prophète étant interdite, les conseillers en communication djihadistes ont semble t’il improvisé. 

3 jours de deuil islamique ont été déclarés, ce qui signifie que les décapitations d’infidèles et la réalisation de clips de propagande à la gloire de Daech sont suspendues. Les traditionnelles processions pour les martyrs avec tirs à la kalachnikov dans les airs ont également été provisoirement interdites par peur des bombardement occidentaux.


Après trois jours d’enquête le profil des attaquants mécréants se dessine même si la traque s'annonce difficile, les assaillants ayant bénéficié de nombreuse complicités locales au grand désarroi des forces de l’ordre islamique. Les enquêteurs croient avoir identifié plusieurs terroristes formés localement comme ce syrien prof d'archéologie qui, après la destruction du site historique de Palmyre a rejoint des groupes de résistance à Daesh. Profitant de la confusion régnant les heures suivant l’attentat, il a taggé de nombreux murs de Raqqa avec ces inscriptions terrifiantes “Voltaire contre attaque”, "Ni dieu, ni maitre"... 

Concernant l’attentat à la musique métal, la police islamique a retrouvé le compte Spotify qui a été utilisé, il s’agit d’un certain DJ Black Flag , jeune tunisien perverti par la musique gothique qui est un membre actif des groupes de défense de la jeune démocratie tunisienne. 

Quelques heures après les attentats, les commandos islamistes ont réussi à neutraliser les bustes de Marianne à l'aide de tchadors de secours. Une analyse approfondie est en cours, à ce jour les experts estiment que Monica Belluci aurait été le modèle qui aurait servi à la fabrication de la bombe. 

Des tickets de caisse retrouvés parmi les tessons de bouteilles de Picon étalés sur les lieux de l’attentat indiquent que ces armes d’apéro massif proviennent d’un hypermarché Cora situé à Colmar, laissant peu de doute sur l’identité des malfaiteur. 

La piste hexagonale se précisant, les enquêteurs sont remontés jusqu’au cerveau des attentats, un certain Momo de Vesoul. Français né de parents musulmans, il se serait mécreanisé lors de ses études à Besancon, fief de laicards radicaux. Son profil Facebook montrait clairement un nombre important de beuveries et il s'affichait avec de nombreuses jeunes femmes aux tenues non islamo-compatibles. Ces derniers mois, il avait montré des signes d’impiété majeures, indiqué sur son profil “ je suis Charlie” et montré ses fesses lors de diverses célébrations impies. 

Momo la Saumure, spécialiste du contre-terrorisme de Daesh nous a fait part de ses préoccupations. Parmi les centaines de jeunes occidentaux qui viennent en Syrie, combien sont des agents infiltrés des mécréants ? Certains nouvelles recrues jugées trop tièdes comme Bouba el Frankaoui et Ahmed el Kronembourg ont ainsi été arrêtées ces derniers jours. 
Le leader des ultras-islamiques, Abdou El Casslescouilles a lui exigé la mise en quarantaine des nouveaux émigrés djihadistes et une mise à l'épreuve avec la diffusion du film "Basic instinct “pour tester leur adhésion aux valeurs de l’état islamique. 

Face à ce péril intérieur, Daech apparait ébranlé. Malgré son apparente puissance actuelle, l’organisation a surtout profité du chaos irakien et syrien et de l’inertie occidentale pour prospérer. L'organisation djihadiste se remettra t'elle de ces attentats qui l'ont touché en plein cœur ? 


Le sentiment du devoir accompli, Djibouti repart avec son pins Pikatchu laissant cette dédicace : From paris with love